Mœurs, croyances, légendes diverses complètent ce volume et nous livrent les secrets fantastiques qui composent l’âme populaire de cette région. On découvrira ainsi les “bruixas” du Roussillon ou les “sémiots” d’Arles ou encore les “armières” on partira à la recherche des herbes de la Saint-Jean ou on rêvera aux exploits de la célèbre bête de Gévaudan. On s’initiera de même aux guérisseurs lozériens, aux fées du Roussillon, aux exploits de Roland et à tout ce qui alimente les croyances en des êtres surnaturels.
Histoires fantastiques, récits bon enfant, contes populaires rythmés. C’est tout le charme merveilleux et malicieux de la Provence que nous livrent ces contes et légendes qui appartiennent au vrai folklore d’un pays.
La Préhistoire dans la commune de Martigues
L’abri-sous-roche de la Baume-Longue à Ponteau
Le village Néolithique du Collet-Redon à La Couronne
L’Époque Gallo-Romaine
Aperçu général de l’occupation
L’établissement de Saint-Julien-les-Martigues
Martigues au Moyen Âge
Martigues : trois villages provençaux au XIV° siècle
Économie et société
Les pouvoirs à Martigues
– La féodalité martégale
– Le pouvoir royal à Martigues
– Des hommes partiellement maîtres de leurs décisions
Épilogue médiéval
L’Époque Moderne
Les armoiries de la ville
L’Acte d’Union
Les cadastres
Martigues au XVII° siècle
Le XVIII° siècle à Martigues
La vie religieuse
La Révolution
La municipalité bourgeoise et la révolution
L’année fédéraliste : 1793
La municipalité montagnarde et la Terreur
La première moitié du XIX° siècle
Les paysages
Les activités de la communauté
La vie politique
Poèmes des enfants lauréats du Cercle Français de Poésie en 1998.
Existe-t-il des plantes qui mangent de la viande ?
À quoi servent les piquants d’un cactus ?
Quel arbre possède des racines longues d’au moins 30 mètres ?
Pourquoi les sapins restent-ils verts en hiver ?
Ce livre apporte aux jeunes lecteurs curieux des réponses claires et précises à une multitude de questions.
En 1880, le niçois Jean GILETTA fonde au 9 de l’ancienne Rue de la Paix, à Nice, son premier laboratoire de photographie, et vraisemblablement l’un des tous premiers du genre dans la ville.
De 1900 à 1920, l’âge d’or de la carte postale, Giletta sillonne les routes du littoral et du haut pays niçois. Il se rend dans tous les villages, sans exception, y photographie tout : les maisons, les rues, les gens, les moyens de transport, les monuments.
Armé de sa lourde chambre photographique, à cheval sur son tricycle à moteur conçu par De Dion-Bouton, il se rendait dans les fêtes des villages, dans les foires et dans la plupart des manifestations.
C’est plus de dix mille cartes postales qui verront ainsi le jour dans les vingt premières années du siècle, de la maison d’éditions qui aujourd’hui encore porte le nom de son fondateur.
La majeure partie des illustrations de cet ouvrage est due à son talent.
Alpes-de-Haute-Provence
Annot
Entrevaux
Lurs
Moustiers-Sainte-Marie
Simiane-la-Rotonde
Hautes-Alpes
La Grave
Saint-Véran
Alpes-Maritimes
Coaraze
Èze
Gourdon
Le Haut-de-Cagnes
Saint-Paul-de-Vence
Sainte-Agnès
Tourrettes-sur-Loup
Bouches-du-Rhône
Les Baux-de-Provence
Saint-Rémy-de-Provence
Saintes-Maries-de-la-mer
Var
Bargème
Gassin
Porquerolles
Ramatuelle
Seillans
Tourtour
Vaucluse
Ansouis
Bonnieux
Gordes
Lourmarin
Ménerbes
Oppède-le-Vieux
Roussillon
Venasque
Un axe de civilisation
Terre de mirage
Une zone d’échanges
Le sol et les hommes
La Haute Provence historique
L’eau, source de vie
L’irrigation
L’industrie hydro-électrique
Le thermalisme
Nautisme et baignade
La pêche
L’espace
L’air, le climat, le climatisme
L’observatoire de Haute-Provence
La montagne
La forêt
La faune
Flore et végétation
Quelques traits de l’économie
La lavande
Évocation gastronomique
L’artisanat
La faïence de Moustiers
Carte économique
La grand-mère de Franklin ne peut pas venir le garder ce soir. Une nouvelle babysitter arrive et Franklin n’est pas content.