Les contes d’Auvergne sont souvent facétieux et toujours très plaisants. Jacques Levron vous en propose un choix particulièrement divertissant. Certaines légendes ont une trame historique. Nous apprendrons ainsi, non sans une surprise émerveillée, qu’un petit pitre auvergnat nommé Gerbert devint pape sous le nom de Sylvestre II ! Mais bien d’autres histoires aussi vous passionneront : la gentille sainte Hélidie, le guet-apens de Géronnet, les méfaits du baron de Montsuc, l’oiseau du paradis, le peloton ensorcelé, le paradis perdu ou la demoiselle au long nez. Ces récits pleins de vie vous feront mieux connaître la rude et montagneuse Auvergne.
« Ce volume réunit le meilleur de ceux qui furent les grands collecteurs du XIXe siècle. Patients Homères des provinces, ils ont consacré savamment leur vie à sauvegarder, tels que dits, le savoir et l’esprit des conteurs transmetteurs d’une littérature orale dans sa force et sa forme séculaires. Jean-François Bladé, Louis Lambert, Anatole Le Braz, François-Marie Luzel, Adolphe Orain, Paul Sébillot et tous ceux dont le nom figure ici, dans ce Mémorial de papier-livre, allèrent de village en village, de ferme en ferme, écouter et noter patiemment les histoires qui charmaient des auditoires attentifs et participants. Ils nous offrent aujourd’hui à entendre cette musique d’intonation de mots vieille comme le monde. Marie-Charlotte Delmas s’est faite ici collecteuse de collecteurs. Elle est bien leur petite -fille attentive, fidèle et respectueuse de leurs écrits que l’on me permettra de qualifier de sacrés, tant eux-mêmes ont respecté la mystérieuse divinité qui a généré ces histoires façonnées par les siècles et qui sont la mémoire de l’enfance et de l’humanité rurale. »
Claude Seignolle
«Depuis que j’ai senti la solitude de mon être, il me semble que je m’enfonce, chaque jour davantage, dans un souterrain sombre» : la détresse du supplicié de Solitude est celle de tous les héros qui hantent ces contes d’angoisse, tous séparés du monde, tous meurtris par une carence d’amour. Ces êtres dont l’âme se décompose font naître des fantômes, rencontrent des femmes-spectres, entendent des voix d’outre-tombe… Car chez Maupassant, c’est la solitude qui engendre les monstres.
Les 18 contes rassemblés dans ce volume témoignent d’un fantastique nouveau, teinté de réalisme psychologique. Les rêveries macabres, les catastrophes aberrantes et les cas pathologiques sont marqués du sceau de l’inconsistance, du flou, et s’achèvent par cette interrogation effarée qui trahit la perte de confiance dans la solidité des jugements, des choses et du moi : «Peut-être?…»
Confidences d’un joueur de clarinette
Le combat d’ours
Le trésor du vieux seigneur
Mon illustre ami Selsam
Myrtille
Le chant de la tonne
Le citoyen Schneider
La comète
Le talion
L’inventeur
Les Fables occupent une place singulière dans notre mémoire : par le souvenir que nous gardons de ces poèmes devant lesquels nous sommes restés enfants, mais aussi par la grâce de tant de vers devenus proverbiaux et que notre parole quotidienne fait renaître. Et tout se passe comme si une correspondance secrète se maintenait de siècle en siècle entre ces Fables et l’identité de notre pays comme de notre langue.
Le premier recueil paraît en 1668, et le second dix ans plus tard. Le succès est immense et les poèmes, alors, appartiennent pleinement à leur temps : la France du règne de Louis XIV. Mais le mystère de leur pouvoir est de s’émanciper très vite de cet environnement immédiat, d’éclairer nos réalités successives, d’allier de manière toujours éclatante le particulier et l’universel. Dans cette «comédie à cent actes divers, / Et dont la scène est l’Univers», le texte se dérobe à toute signification définitive. Mais La Fontaine, à chaque page, nous convainc que la poésie, à ses yeux, demeure instrument de connaissance : il existe une beauté du savoir – et nous ne cessons pas de la retrouver en lui.
Blanche-Neige est une très jolie princesse. Sa belle-mère, la Reine, sentant qu’un jour la beauté de Blanche-Neige dépasserait la sienne donne l’ordre à son garde chasse de la tuer. N’ayant pas le courage d’exécuter ses ordres, il l’abandonne dans la forêt.
Pongo et Perdita, deux magnifiques dalmatiens, ont un beau jour 15 bébés chiens. Leur joie et celle de leurs maîtres, Roger et Anita, serait sans ombre si l’infâme Cruella, ancienne camarade de classe d’Anita, ne convoitait les chiots pour la réalisation d’un manteau de fourrure. Un soir, profitant de l’absence du couple, les méchants Jasper et Horace font main basse sur la portée. Pongo et Perdita se lancent alors dans un plan de sauvetage désespéré.
Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d’Hercule, fils de Zeus, Hadès, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l’Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, après avoir éliminé le seul dieu capable de le tenir en échec : Hercule.
Dans le ciel de Londres en guerre, surgit un mystérieux navire. Le capitaine Crochet est venu kidnapper Jeanne, la fille de Wendy. C’était sans compter sur Peter Pan qui la sauvera et lui fera découvrir le pays imaginaire !