La Pleine Conscience est le miracle grâce auquel nous pouvons vivre pleinement chaque instant de la vie, que ce soit en mangeant une mandarine, en jouant avec des enfants ou en faisant la vaisselle.
Les principes simples et directs qu’énonce le célèbre maître zen Thich Nhat Hanh sont universels et chacun peut y découvrir des trésors.
Par cet enseignement, où méditation et action ne sont pas séparées, nous sommes invités à redécouvrir la véritable beauté de la vie au fil de notre quotidien, à apprécier chaque minute, chaque seconde du miracle de la réalité.
Le miracle de la Pleine Conscience nous apprend à retrouver l’émerveillement de l’enfant devant le monde et à nous reposer dans le calme et la paix de notre nature profonde.
“Depuis toujours, j’ai passionnément cherché une réponse aux questions suivantes : qu’est-ce que la vérité ? Comment devient-on un disciple du Christ ? Quels sont les grands principes enseignés par Lui ? La prière peut-elle transformer un être humain ? Quelles sont les lois fondamentales de la prière, de la méditation, de la guérison spirituelle ? Comment la vivre pratiquement ?
Voilà ma quête, mon voyage intérieur… Mon désir est de partager avec d’autres ce que j’ai trouvé en étudiant la Bible à la lumière des Lectures d’Edgar Cayce, en essayant de l’appliquer au service de Dieu et de mon prochain.”
M.A. Puryear

Chacun de nous sait bien que, tôt ou tard, la Mort viendra anéantir définitivement son corps. Mais, après cette mort corporelle, qu’adviendra-t-il de son Esprit ? … Certes, toutes les religions du monde laissent espérer qu’il est immortel. Mais voici qu’en cette fin du XXe siècle pour la première fois la Science elle aussi découvre que l’immortalité de l’Esprit est une éventualité probable. Physicien, mais également philosophe, Jean E. Charon a montré dans L’Esprit cet inconnu, publié en 1977, que ses recherches en physique l’amenaient à jeter une lumière toute nouvelle sur ce que nous nommons “notre” Esprit. Les électrons, qui sont des particules entrant dans la constitution de notre corps, ressemblent à de minuscules “trous noirs”, ces objets cosmiques qui intéressent tant les physiciens contemporains. Comme eux ils enferment un espace et un temps différents mais complémentaires de ceux auxquels nous sommes habitués. Cet espace-temps nouveau possède des qualités qu’on est bien obligé d’appeler “spirituelles” : Il mémorise les événements passés et les ordonne, à la façon dont notre cerveau médite et raisonne à partir des éléments de notre mémoire. C’est dans ces électrons “pensants”, ou éons, que notre Esprit tout entier est contenu. Et comme ces particules possèdent, suivant les lois de la physique, une vie pratiquement éternelle dans le passé comme dans le futur, cela signifie que notre Esprit prend ses racines dans un passé aussi vieux que l’Univers lui-même et continuera, après notre mort corporelle, à partager l’aventure du monde jusqu’à la fin des temps.
C’est ce thème passionnant que reprend et approfondit Jean E. Charon dans Mort, voici ta défaite… II analyse notamment les quatre propriétés psychiques des éons : La Connaissance, la Réflexion, l’Amour et l’Acte. Propriétés qui ouvrent la voie à l’étude des “pouvoirs” mal connus de notre Esprit. Tout le langage symbolique des grands textes sacrés, Bible, Coran ou Bhagavad-Gita, apparaît comme traduisant une voix intérieure profonde et millénaire, riche de l’expérience vécue par l’Esprit au cours de l’évolution qui nous a précédés, une voix qu’ont su entendre les prophètes et les sages. Est-ce que ce ne sera pas la tâche de la physique du XXIe siècle, que de développer cette étude de l’Esprit propriété la plus essentielle de la Matière, et de ses pouvoirs ?…
L’avertissement d’Alexandra David-Néel est clair : “Tout au long des pages suivantes, le lecteur est prié de se rappeler que ce roman a été vécu.” Histoire vécue que celle qu’on raconta dans la nuit du Tibet à notre voyageuse ? Récit mythique que cette histoire où le merveilleux croise l’horreur ? Roman d’amour fou que le récit de cette passion entre Garab le brigand et Detchéma, fuyant sa famille pour rejoindre celui qu’elle vit en songe ?
Au pays du réel nimbé d’imaginaire, Alexandra David-Néel plonge au cœur des coutumes et des croyances des habitants d’une des régions les plus reculées du monde et réinvente “Roméo et Juliette” dans les steppes du Tibet. Un livre lumineux qui se lit comme un songe.
Un proverbe tibétain dit : “Tout le monde meurt mais personne n’est mort.” Le Dalaï Lama, ce maître de la pensée bouddhiste, a pris soin de nous expliquer ce phénomène que nous refusons et décrit très précisément les différents stades qui nous mènent de la vie à la mort. Ce livre donne des conseils pratiques sur la meilleure manière d’aborder sa propre mort. Il s’agit d’abord de prendre conscience de la brièveté de notre passage sur terre. Nous passons la moitié de notre vie à dormir, sans compter dix années d’enfance et une vingtaine d’autres de vieillesse. Il faut donc pouvoir tirer le meilleur parti de notre vie tout en se préparant le plus tôt possible à notre mort pour terminer notre existence sereinement. Le Dalaï Lama explique comment éliminer la peur et maîtriser son destin grâce à la concentration mentale: hiérarchiser les vraies priorités, accéder à la sérénité, à la paix intérieure et à la sagesse.
En février 1994, Sa Sainteté le Dalaï-Lama, chef spirituel des bouddhistes lamaïstes, reçoit Jean-Claude Carrière, écrivain passionné• par la culture orientale, dans son monastère du nord de l’Inde où il demeure.
Ensemble, ils évoquent les grands problèmes de notre temps – la surpopulation, la dégradation alarmante de planète, la banalisation de la violence, l’éducation – mais aussi des questions d’ordre métaphysique telles que la mort ou la réincarnation.
Au cours de ces entretiens, le Dalaï-Lama expose sa conception du monde, sa foi en l’homme et en l’avenir, même si la situation paraît critique, sa volonté de ne pas s’attacher aux dogmes et d’élaborer une pensée en perpétuel mouvement. Il décrit aussi le rôle possible du bouddhisme dans le monde aujourd’hui.
Ce livre passionnant donne la parole aux quatorze Dalaï-Lamas qui se sont succédés depuis le XIVe siècle. Tous les hommes exceptionnels qui nous ont légué des textes remarquables, diamants éternels de la pensée universelle. Souvent mystiques, parfois amoureuses, parfois poétiques, toujours emplies de sagesse et de compassion, les ” Paroles des Dalaï-Lamas ” sont un message spirituel pour les hommes d’aujourd’hui et de demain. Reflétant étonnamment les débats du monde moderne, ils s’expriment aussi sur la vie quotidienne, la méditation, la culture, et même la politique.

Voici un ouvrage essentiel à la pleine compréhension du zen dans lequel, Alan Wilson Watts, qui fait autorité en la matière, vous propose la description pratique des diverses étapes conduisant à la parfaite réalisation de soi (SATORI).
Il est inutile de rappeler la résonance très profonde du zen en Occident depuis ces dernières décades. Ce livre, contrairement à certains qui ont pu surprendre ou déconcerter nombre de lecteurs, a le grand mérite de dépeindre, EN TENANT COMPTE DE LA MENTALITÉ OCCIDENTALE, la véritable essence du zen et surtout son ESPRIT VIVANT. Vous comprendrez alors l’importance de cette discipline mentale ainsi que la futilité de la seule compréhension intellectuelle et, partant, la nécessité qu’il y a de transcender les dimensions du connu afin de pouvoir enfin aboutir à cet état de pleine conscience et d’intemporalité, source de bonheur ineffable. TABLE DES MATIÈRES . Les origine du zen . Le secret du zen . La technique du zen . La vie dans une communauté zen . Le zen et la civilisation d’Extrême-Orient

La nature a mis à notre disposition trois instruments également nécessaires pour appréhender le réel, trois moyens de connaissance : l’intelligence de la tête, l’intelligence du corps et l’intelligence du cœur. L’instruction, aujourd’hui prolongée jusqu’à seize ans au moins, souvent beaucoup plus, exerce l’intellect. La gymnastique, l’athlétisme, la pratique des arts martiaux assurent ce que nous nommons culture physique. Mais, dans notre monde moderne, le développement du sentiment juste est presque totalement négligé. La toute-puissance des émotions : peur, jalousie, convoitise, colère, anxiété, vanité, détermine ce qu’il faudrait oser appeler la stupidité du cœur. Il n’est pas de voie initiatique, même les yogas techniques ou le yoga de la connaissance, qui ne fasse la part belle à la purification du cœur. C’est dans la « caverne du cœur », disent les Upanishads, que l’absolu se révèle comme l’essence de notre être, comme notre propre « Soi », à condition que ce cœur ne soit plus encombré par les marques d’un passé toujours présent qui se projette en craintes et en rêves sur le futur. C’est dans le cœur que se vit la mort du vieil homme et la naissance de l’homme nouveau. « Un cœur léger », « le cœur en paix », ces expressions ne sont pas mystérieuses, bien au contraire. Elles n’en sont pas moins ésotériques pour cela.
Le corps a un langage par lequel il exprime sa jouissance et ses souffrances, mais il est aussi lui-même un langage en soi, un “livre de chair”. Apprendre à lire le corps, c’est être attentif à son dessin, savoir décrypter les formes du labyrinthe anatomique ; c’est aussi entendre ce que nous disent les grands mythes de l’humanité sur la nature et la fonction subtile de chacun des organes ; c’est enfin, nous dit Annick de Souzenelle, redécouvrir l’Arbre des kabbalistes, car si l’homme est “créé à l’image de Dieu”, l’image de son corps doit être lue comme le reflet terrestre de cet “Arbre de Vie” dont nous parle la tradition de la Kabbale.