Le monde antique resta béant, pour ainsi dire, lorsque la mort prématurée et inattendue d’Alexandre le Grand mit brusquement fin à sa carrière impétueuse. Ses amis et ses ennemis ne tardèrent pas à déformer sa mémoire en des images incompatibles, si contradictoires que les historiens ne cessèrent d’hésiter entre les portraits qui leur étaient proposés.
Mais qui fut réellement Alexandre le Grand ?

Qui est Vladimir Poutine ? Un tsar autoritaire ? Un James Bond manipulateur formé au sein des services secrets, qui met en danger la paix internationale ? Ou bien au contraire un dirigeant clairvoyant, antithèse du politiquement correct, qui défend les intérêts de son propre pays et l’équilibre dans le monde ? Quelle est sa véritable ambition autour de l’Ukraine ?
Ce portrait de Poutine apporte de nombreuses réponses à ces interrogations. Fidèle à ses vieilles méthodes des services secrets, Poutine excelle dans l’art de brouiller les pistes. D’abord agent du KGB dans les années 1970-1980, puis adjoint au maire démocrate de Saint-Pétersbourg, il devient chef des services secrets, choisi pour défendre les intérêts d’Eltsine et de sa famille. Il est ensuite nommé Premier ministre lors de la guerre en Tchétchénie, dans un climat crépusculaire de fin de règne. Habile manœuvrier et jouant adroitement des clans politiques, il s’impose enfin comme successeur inattendu de Boris Eltsine, et affronte les défis majeurs de la Russie du XXIe siècle.
Éclairant les zones d’ombre de ce personnage complexe, Vladimir Fédorovski présente ici cinq visages du maître incontesté de la Russie depuis près de 15 ans, personnalité incontournable de l’échiquier international.

L’histoire de France est riche de plus d’une Marguerite : que l’on songe à Marguerite de Bourgogne, rendue célèbre par Maurice Druon et ses Rois maudits, ou encore à Marguerite de Valois, la fameuse « reine Margot » immortalisée par Alexandre Dumas.
Sans doute moins sulfureuse, la vie de Marguerite de Navarre n’en est pourtant pas moins exaltante.
Femme instruite, humaniste éclairée, fine diplomate, mais aussi mécène et auteure prolifique, celle que beaucoup de poètes surnomment la « perle des Valois » marque profondément la France renaissante du XVIe siècle. Très écoutée et respectée par son frère François Ier, Marguerite de Navarre – née Marguerite d’Angoulême en 1492 – encourage le roi à pratiquer dans son royaume une certaine tolérance envers les protestants. Défendant les artistes en général et les artisans du livre en particulier, elle contribue fortement à faire de la Cour un lieu où les intellectuels de premier plan se pressent. Également auteure de poésie, de théâtre et de contes, elle laisse à la postérité une œuvre abondante. L’Heptaméron, son ambitieux recueil de nouvelles, est son chant du cygne : il est inachevé lorsqu’elle meurt en 1549, mais les textes aux accents personnels et modernes qui le composent sont encore aujourd’hui des références.
Grâce à une analyse fine et poussée des écrits de Marguerite de Navarre, et forte de nombreuses sources inédites, Patricia Eichel-Lojkine réhabilite avec maestria une figure oubliée et pourtant incontournable de l’histoire intellectuelle et politique de la Renaissance.

La Bible ne consacre que de brefs chapitres à l’histoire du roi Salomon. Pourtant, tout au long des siècles, son destin exceptionnel n’a jamais cessé d’exercer une vive fascination. Cette biographie de Salomon se fonde uniquement sur des sources issues de la littérature religieuse et pour la première fois ici accessibles au public français. L’auteur a eu recours aux grands textes du Talmud, du Midrash, mais surtout aux œuvres des commentateurs classiques (Rachi, Abravanel, etc.) du récit biblique qu’il a confrontés à certains traités d’histoire juive ancienne, tels les ouvrages de Flavius Josèphe.
De la difficile accession au pouvoir du jeune roi, en passant par la construction du Temple de Jérusalem (dont la signification spirituelle fait l’objet d’une longue analyse) jusqu’aux grands épisodes qui rythment la vie de Salomon (le célèbre Jugement, la rencontre avec la reine de Saba, etc.), cette biographie nous restitue le portrait d’un souverain dont l’histoire appartient désormais au patrimoine universel.
Sur la base de multiples documents, traditions orales et commentaires, l’auteur étudie par ailleurs les raisons qui furent à l’origine du déclin tragique de l’empire de Salomon, ” l’homme auquel Dieu avait donné le plus haut degré de sagesse, d’intelligence et une étendue de connaissances comme le sable qui est au bord de la mer “.

L’histoire est jalonnée de femmes libres qui ont fait et défait cette même histoire comme on fait et défait un lit. Cet ouvrage dresse le portrait des plus fameuses d’entre elles.
Issues des plus hauts comme des plus bas milieux, ces femmes avaient en commun, outre la beauté, du culot, du courage et souvent une grande intelligence qui leur a permis de séduire les plus grands, les plus ambitieux.
Grâce à leur emprise sur les hommes, elles se sont frayé un chemin dans les plus hautes sphères de la société où elles ont été, suivant leur tempérament, admirées, respectées, craintes, haïes. Dans tous les cas, elles n’ont laissé personne indifférent et leur vie est riche de passions en tous genres.
Messaline, Cléopâtre, Joséphine de Beauharnais, Thérésa Tallien, Catherine II de Russie, la reine Margot, Madame du Barry, Mata Hari … Ce livre propose de raconter ces destins hors normes, souvent scandaleux, toujours passionnants de ces grandes figures féminines nichées dans les replis de l’histoire.

” Les jeunes gens intelligents, il y en a trop. Ils courent les rues. Parlez-moi d’un caractère. Parlez-moi de Hauteclocque. ” Voilà en quels termes un père jésuite évoquait le futur général Leclerc durant sa scolarité. Toute sa vie, l’officier a fait des choix singuliers qui l’ont conduit à devenir l’icône de la libération de la France. De ce destin unique, Jean-Christophe Notin décrit les inspirations géniales, lorsqu’il prend Koufra, Paris ou Strasbourg, mais aussi les moments de doute et de colère. Car Leclerc, c’est aussi un combat permanent contre ses propres faiblesses. Sa relation très particulière avec le général de Gaulle en témoigne, pleine de foucades, mais jusqu’au bout d’une inébranlable fidélité. Leclerc n’oubliera jamais qu’en choisissant de rallier Londres en juillet 1940 il a pris le risque de ne pas retrouver ce qui lui était le plus cher, ses six enfants, sa terre de Picardie et la très belle carrière militaire qui lui était promise.
Sur la foi d’archives françaises, britanniques et américaines, Jean-Christophe Notin en relate la cause, son amour éperdu pour la France, qui le porta après guerre jusqu’en Indochine. Sa fin tragique, le 28 novembre 1947, fit pleurer de Gaulle et toute la France. C’est dire combien tous les deux réalisaient qu’ils venaient de perdre un grand homme.
J’ai écrit ce livre en hommage à ma grand-mère maternelle, Idiss. Il ne prétend être ni une biographie, ni une étude de la condition des immigrés juifs de l’Empire russe venus à Paris avant 1914. Il est simplement le récit d’une destinée singulière à laquelle j’ai souvent rêvé.
Puisse-t-il être aussi, au-delà du temps écoulé, un témoignage d’amour de son petit-fils.

Peter Kay’s unerring gift for observing the absurdities and eccentricities of family life has earned himself a widespread, everyman appeal. These vivid observations coupled with a kind of nostalgia that never fails to grab his audience’s shared understanding, have earned him comparisons with Alan Bennett and Ronnie Barker. In his award winning TV series’ he creates worlds populated by degenerate, bitter, useless, endearing and always recognisable characters which have attracted a huge and loyal following. In many ways he’s an old fashioned kind of comedian and the scope and enormity of his fanbase reflects this. He doesn’t tell jokes about politics or sex, but rather rejoices in the far funnier areas of life: elderly relatives and answering machines, dads dancing badly at weddings, garlic bread and cheesecake, your mum’s HRT… His autobiography is full of this kind of humour and nostalgia, beginning with Kay’s first ever driving lesson, taking him back through his Bolton childhood, the numerous jobs he held after school and leading up until the time he passed his driving test and found fame
When John Thaw, star of The Sweeney and Inspector Morse, died from cancer in 2002, a nation lost one of its finest actors and Sheila Hancock lost a beloved husband. In this unique double biography she chronicles their lives – personal and professional, together and apart.
Léonard de Vinci, sa vie, ses protecteurs
La Toscane et Florence, 1452-1482
Milan, 1482-1499
Venise, Florence et la Romagne, 1500-1506
La seconde période milanaise, 1506-1513
Rome et Amboise, 1513-1519
La peinture et la sculpture
La première période florentine; 1452-1482
Vinci à Milan, 1482-1499
La Cène
La seconde période florentine
La bataille d’Anghiari
Florence, Milan, Rome, France, 1506-1519
Les dessins et les manuscrits
Armes, machines et ingénierie
Urbanisme, églises et villas
Dessins d’anatomie
Paysages, plantes et animaux
Chronologie
Bibliographie sélective