Quelle est la rançon du succès ?
Paulo Coelho revient ici aux thèmes qui ont fait la force de Onze minutes et du Zahir, il nous offre un roman à suspense, véritable miroir de notre société où le culte du luxe et de la réussite à tout prix empêche d’entendre les vérités que murmure notre cœur.
Il nous entraîne au festival de Cannes à la rencontre de ceux qui triomphent dans le monde superficiel de la haute couture et du cinéma : Un millionnaire russe, un pape moyen-oriental de la mode, Gabriella la starlette, un détective ambitieux et enfin Jasmine, future top model.
Argent, pouvoir, célébrité sont des enjeux pour lesquels ils sont prêts à tout, quel qu’en soit le prix.
Qui sera capable de reconnaître, parmi tous ces fantasmes en technicolor, son rêve secret, et de lui donner vie ?
C’est un traité scientifique conforme à la conception traditionnelle de l’Inde, selon laquelle la sexualité relève de la physiologie et de la vie religieuse, non pas de la morale.
Comme tous les textes de l’Inde ancienne, l’ouvrage peut être également lu comme une allégorie de l’union (yoga) au Divin.
«Tout commença en décembre 1966, qui marqua le début d’une série extraordinaire d’événements dans ma vie. J’étais en troisième année à l’université de Californie à Berkeley. Un jour à trois heures vingt du matin, dans une station-service ouverte toute la nuit, je rencontrai pour la première fois Socrate. (Il ne me dit pas son vrai nom, mais après avoir passé un moment avec lui cette nuit-là, je l’appelai d’instinct comme l’ancien sage grec ; le nom lui plut et lui resta.) Cette rencontre fortuite, ainsi que les aventures qui ont suivi, allaient changer ma vie.»
L’homme que l’auteur appelle Socrate a réellement existé. Âgé de presque cent ans, Socrate révèle une formidable jeunesse d’esprit et un humour décapant. À son contact, Dan, un sportif de haut niveau en mal de vivre, voit ses croyances complètement bouleversées. Guidé par le vieux sorcier excentrique, Dan triomphe peu à peu de ses peurs et de ses illusions pour vivre comme un amoureux et un guerrier… pacifique.
Les premières idoles furent la grande déesse, le dieu taureau et celui à tête de poisson. S’interrogeant sur son destin de mortel, l’homme lia ensuite son sort à des religions parfois terribles, toujours complexes. Puis vint le temps des textes sacrés, des prophètes, des dieux uniques et des croyances universelles.
Ils sont des dizaines de milliers, voire des millions, à avoir fait une expérience de mort approchée.
Aurélien Le Blé a recueilli par centaines leurs témoignages bouleversés et bouleversants, ainsi que ceux des chirurgiens, médecins, infirmières, anesthésistes et réanimateurs qui ont accepté de parler malgré l’énorme pression que la Faculté exerce sur eux. Et les phénomènes décrits se révèlent pour le moins troublants ! Contact avec des proches décédés, rencontres d’êtres supérieurs, visions extracorporelles, sensation indicible d’avoir baigné dans la lumière d’une plénitude, d’une connaissance et d’un amour universels…
S’agit-il de délires, d’hallucinations, ou de preuves formelles de l’existence d’un au-delà, d’une vie après la vie ? Face à ces interrogations, cet ouvrage nous propose non pas des réponses toutes faites mais des éléments de réflexion qui ouvrent de nouvelles voies dans la compréhension du plus grand mystère auquel nous soyons confrontés : le sens même de la vie et de la mort.
Le monde des lettres a connu nombres de couples étranges, cependant il y en eut peu d’aussi singulier que celui d’Alexandra David-Néel et de Philippe Néel, son mari.
Tandis qu’il demeurait fixé à Tunis, où l’attachaient ses fonctions, Alexandra David-Néel avec sa bénédiction et son aide financière poursuivait ses études et ses rêves à travers l’Inde, le Népal et le Tibet.
Leur commune solitude était une sorte de lien privilégié pour ces deux êtres, aussi Alexandra David-Néel notait-elle chaque événement de sa vie vagabonde à l’intention de celui qu’elle appelait “mon bien cher Mouchy”.
Ce livre a recueilli toutes les lettres envoyées par Alexandra David-Néel à son mari. Ce premier tome comprend celles écrites de 1904 à 1917. Elles sont toutes là, tour à tour descriptions endiablées ou pittoresques- journal de route- comptes rendus ironiques et méditations philosophiques.
Alexandra David-Néel se confie avec abandon à celui qui sera toujours son meilleurs ami: elle lui dit ses misères physiques et morales, son existence aventureuse et ascétique, sa vie de tous les jours et les personnages fascinants qui la traversent. Ce sont, pêle-mêle: sages, penseurs, savants, lamas, prêtres, sannaysins, yoguis, boys, muletiers et voleurs…
Une femme écrit à son mari… Pas n’importe quelle femme ! Depuis plus de quinze ans, elle parcourt des milliers de kilomètres à la découverte des régions inexplorées du Tibet. Pour aller la première là où aucun Occidental n’est jamais parvenu. Parce que c’est là, au cœur de l’Himalaya, qu’aboutit sa quête de la sagesse.Cette femme, c’est Alexandra David-Néel. Ses voyages en Asie appartiennent déjà à la légende. Mais ses lettres, écrites de 1918 à 1940, nous restituent vivante celle qui a osé renoncer à tout pour un rêve insensé ! Doutes, angoisse, bonheur absolu : dans le second tome de sa correspondance, Alexandra David-Néel livre le témoignage émouvant et fascinant de sa conquête tibétaine.
Comment le phénomène de réincarnation peut-il être envisagé par un esprit rationnel ? A quoi attribuer les souvenirs que des milliers de gens rapportent et qui semblent appartenir à des vies antérieures ? La réincarnation a captivé Ian Stevenson, un éminent professeur de l’université de Virginie. Sur les milliers de témoignages recueillis en Inde, au Brésil, au Liban ou en Alaska, le chercheur a retenu les plus crédibles et les plus saisissants. 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation rassemble ainsi les récits de vingt enfants dont les éléments ont pu être vérifiés et validés par des recherches scrupuleuses. Marques de naissance, habitudes et phobies des enfants trouvent alors un éclairage surprenant. Un livre qui ébranle notre conception de la conscience et du cerveau humain.
Avec pour cadre les solitudes enchantées du Tibet, voici “le premier roman qui ait jamais été écrit par un lama tibétain à la gloire de son haut pays des neiges, pour le monde du lointain Occident”. Un récit signé d’Alexandra David-Néel et de son fils adoptif le lama Yongden, qui mêle à la passion et à l’aventure la pittoresque description des faits, coutumes et paysages du Tibet.
Jamais un recueil n’avait rassemblé un tel ensemble de textes de référence, consacrés aux différents aspects de la méditation, et surtout, s’attachant à décrire l’état “pur et clair” considéré comme suprême par toutes les écoles.
