Les meilleures nouvelles de Françoise Bourdin enfin réunies !
Dans Hors saison, la nouvelle qui a donné son titre à ce recueil, deux histoires se croisent. Celle de Sabine – dont le couple bat de l’aile et qui se réfugie à Honfleur pour faire le point – et celle de Jag, qui connaît bien la maison dans laquelle elle a trouvé refuge. C’est là que vivait Laetitia, l’amour qu’il n’a jamais pu oublier. L’une craint de passer à côté du bonheur, l’autre a peut-être laissé le sien lui échapper…
Avec ce recueil, Françoise Bourdin nous prouve qu’elle excelle dans l’art de la nouvelle. Avec humour ou mélancolie, elle parvient à capturer en quelques pages l’essence de ses personnages. Dix textes intenses, dont un inédit, où elle explore des thématiques chères à son cœur – Relations parents-enfants, abandon, amour des chevaux – et où elle démontre une fois encore son immense talent de conteuse.
Ce recueil de nouvelles regorge d’inventions et de violence. Le fantastique et l’horreur surgissent au détour des réalités les plus familières. Ainsi…
Quand un tueur à gages rentre de voyage, mission accomplie, et qu’il découvre dans un colis arrivé en son absence des soldats de plomb, il a envie de sourire, non ? Il aurait tort…
Quand des camions mènent un train d’enfer sur le parking de votre motel et vous assiègent, n’y a-t-il pas de quoi devenir fou ? Surtout quand on s’aperçoit qu’il s’agit de camions sans chauffeur…
Les Bâtisseurs de ponts met en scène la confrontation de l’ingénieur Findlayson, héraut de la civilisation occidentale, avec les réalités insondables de l’Inde. L’idéal victorien se voit réduit à des dimensions bien dérisoires, et toutes les idées reçues sur l’adhésion supposée pleine et entière de Kipling aux idéaux de l’Empire britannique volent en éclats.
Autres histoires :
Sur le mur de la ville
Au fond de l’impasse
La porte des cent mille peines
Sans bénéfice de clergé
Son épouse légitime
La tombe de ses ancêtres
Glisser dans la baignoire en changeant le rideau de douche, faire croire à un accident, confier le petit à une famille normale… Pour se délester de la pesanteur de la vie, elle s’amuse à imaginer le suicide parfait. Mais le jour où le voisin entre dans sa vie, son regard sur le monde change. Dans un Cagliari écrasé de soleil, Milena Agus met en scène des personnages hors normes, enfants en mal d’amour, adultes en quête d’un peu de douceur.

Maupassant sait faire rire ! Mais c’est toujours un rire en demi-teinte. Un rire qui tente de dissimuler la mort, compagne quotidienne. Que ce soit dans l’histoire du condamné à mort qu’on cherche à faire évader parce qu’une exécution capitale coûte trop cher !
Dans celle du chasseur invétéré qui hésite à s’attarder en son lieu de chasse favori parce qu’il convoie le corps d’un proche ! Dans celle du gros homme paralysé à qui on fait couver des œufs afin qu’il soit quand même utile à quelque chose. Ou dans l’histoire du voleur que ses victimes, quelque peu ivres, décident d’exécuter ! Maupassant sait faire pleurer !
Mais ce sont toujours les larmes d’une émotion douce qui réchauffe le cœur. Que ce soit l’histoire du gosse sans père, insulte par tout un chacun, qui se trouve un père pour de vrai ! Ou dans celle des amours secrètes de Mademoiselle Perle, jamais réalisées à cause des convenances.
Huit histoires aigres-douces écrites il y a un siècle et qui restent tout à fait d’actualité, du point de vue de l’écriture, qui n’a pas vieilli, contrairement au style de tant d’écrivains du siècle passé ; mais aussi du point de vue des personnages mis en scène car la nature humaine ne se démode pas en si peu de temps !
Lettres de mon moulin
Le Nord de la France, noyé dans les brumes, ignorait le Sud. Alphonse Daudet le lui fit découvrir par ses “Lettres de mon moulin”. La Provence, celle de la mer et celle de la montagne, est apparue soudain avec ses troupeaux, ses belles Arlésiennes et ses parfums.
Un siècle plus tard, maître Cornille et son secret, la mule du pape qui retient son coup de pied, le curé de Cucugnan, le sous-préfet aux champs, tous ses personnages vivent encore avec la même intensité. Tristes ou gais, mélancoliques ou satiriques, ces petits textes sont des chefs-d’œuvre de malice, de poésie et d’émotion.
Les Amoureuses
Recueil de poèmes dédiés à Mme Alphonse Daudet. Le premier livre publié par Alphonse Daudet, était un recueil de poèmes, de la poésie naturaliste aux images naïves et généreuses que nous vous invitons à découvrir ici.
Le docteur Jenkins fournit en perles de jouvence le duc de Mora, haut dignitaire du second Empire. Il lui présente Jansoulet, dit le Nabab. De basse extraction, cet aventurier a réalisé sa colossale fortune en Tunisie. De nombreux solliciteurs gravitent autour du Nabab, ce qui indigne son secrétaire, l’honnête Paul de Géry… Le Nabab décrit la vie parisienne sous le second empire : affaires, politique et mœurs…
Les chouans.
Avertissement du gars.
Les deux rêves.
Physiologie du mariage ou méditations de philosophie éclectique sur le bonheur et le malheur conjugal.
Petites misères de la vie conjugale.
El Verdugo.
La paix du ménage.
La Maison du chat-qui-pelote.
Le Bal de Sceaux.
Un épisode sous la Terreur.
La vendetta.
Une double famille.
Étude de femme.
Adieu.
L’élixir de longue vie.
Sarrasine.
Une passion dans le désert.