Nuit de Noël… et vient le temps de raconter des histoires, à la veillée. Depuis longtemps, cette douce nuit a un ami : Georges Lauris. Avec son âme d’enfant et de sage, il a depuis longtemps appris à lire le ciel. De même qu’il a appris à lire l’Évangile. D’ailleurs tout ça se tient, c’est presque la même chose. Si vous le lisez vous verrez ce que je veux dire. Georges Lauris a aussi appris à raconter des histoires. Les histoires qu’il raconte sont belles, profondes. Écoutez-le quand il raconte celles qui sont sorties de ses souvenirs d’enfant, dans les Cévennes. Et celles vécues pendant la guerre. Écoutez-le encore quand il se met dans la peau d’un « écrivain public » qui, dans son coin d’Afrique, écrit son Évangile à lui, ou du moins, l’Évangile à sa manière ! Écoutez-le quand il donne la parole au poème… Écoutez ! Si vous écoutez bien, vous découvrirez le fil d’or qui relie toutes ces histoires entre elles : toutes sont nées de la plus belle histoire du monde ; l’histoire d’une douce nuit où Dieu, dit-on, se fit petit enfant pour apporter au monde la paix et la joie. Et si vous êtes vraiment attentif, alors vous aussi, vous aurez envie de vous laisser envahir, comme Georges Lauris, par l’âme de la nuit de Noël et vous aussi vous aurez envie de lire le ciel, de fraterniser avec les étoiles au clair de lune ; vous aurez envie de lire l’Évangile, d’en repérer les traces dans les événements grands ou petits, heureux ou moins heureux, qui font une vie d’homme. Surtout vous vous ferez une âme de nomade, comme les Mages qui vinrent de loin, guidés par une étoile spéciale pour se laisser combler par l’Enfant-Dieu. Comme la lumière des étoiles dans le ciel, ainsi la lumière de l’Évangile dans la vie des gens : elle empêche que tout soit trop sombre, elle apporte de la douceur. Elle est écrin de sagesse…
En février 1994, Sa Sainteté le Dalaï-Lama, chef spirituel des bouddhistes lamaïstes, reçoit Jean-Claude Carrière, écrivain passionné• par la culture orientale, dans son monastère du nord de l’Inde où il demeure.
Ensemble, ils évoquent les grands problèmes de notre temps – la surpopulation, la dégradation alarmante de planète, la banalisation de la violence, l’éducation – mais aussi des questions d’ordre métaphysique telles que la mort ou la réincarnation.
Au cours de ces entretiens, le Dalaï-Lama expose sa conception du monde, sa foi en l’homme et en l’avenir, même si la situation paraît critique, sa volonté de ne pas s’attacher aux dogmes et d’élaborer une pensée en perpétuel mouvement. Il décrit aussi le rôle possible du bouddhisme dans le monde aujourd’hui.
Vingt ans après son élection (octobre 1978), le très long pontificat de l’ancien archevêque de Cracovie tire à sa fin. En vingt années de règne et par plus de quatre-vingt-dix voyages à travers le monde, Jean-Paul II a poursuivi son objectif : imposer au monde catholique son image d’une Église raffermie dans sa théologie et sa politique. Cependant, comme tout leader fort, inébranlable et sûr de lui, Jean-Paul II provoque des réactions contradictoires qui vont de l’enthousiasme quasi papolâtrique au rejet viscéral. Les centaines de livres qui ont été écrits sur lui, dont l’immense majorité sont des hagiographies, le prouvent. Le fait est que croyant ou agnostique, conservateur ou progressiste, personne ne pourra rester indifférent à la vie de cet homme à l’énergique personnalité, témoin des grands événements de ce siècle et dont l’aventure humaine tient beaucoup plus de la saga d’un roman slave que de l’itinéraire ecclésiastique habituel. Karol Wojtyla est plus qu’un simple poète, penseur ou leader politique, ouvrier ou acteur plus qu’un homme pieux et rebelle, traditionnel et moderne plus qu’un homme introverti et mystique qui fascine les foules. Jean-Paul II est un être inclassable qui a contribué – que cela plaise ou non – à façonner la dernière moitié de ce XXe siècle. Dans cette biographie originale et inédite en France, Pedro Miguel Lamet, jésuite espagnol et vaticaniste de renommée internationale, apporte un éclairage nouveau sur Karol Wojtyla, à la fois homme et pape, et dresse le bilan d’un pontificat controversé, désormais orienté vers le grand jubilé de l’an 2 000. Jean-Paul II, le pape aux deux visages, une biographie qui fera référence.
D’un côté, il y a le diable et ses démons, qui nous veulent du mal. De l’autre, il y a les anges qui nous gardent et les saints qui nous protègent. Ce dictionnaire encyclopédique vous présente ces êtres qui nous veulent du bien :
– plus de 200 saints guérisseurs, avec leur histoire, leur légende et leurs « spécialités », qu’on peut invoquer sur plus de 340 maladies ou problèmes recensés… ;
– plus de 80 anges protecteurs, parmi lesquels, en fonction de votre jour de naissance, vous choisirez celui qui vous accompagnera de son aura tutélaire ;
– plus de 60 médailles miraculeuses, avec les prières appropriées pour se soigner et se guérir ainsi qu’on le faisait au Moyen Age…
Outre ces connaissances souvent pittoresques, héritées d’une tradition très lointaine, cet ouvrage vous propose également de découvrir tous les passages de la Bible et du Coran où il est question des anges.
Qui était Jésus ? A-t-il eu des enfants ? Que doit-on penser de sa résurrection, de sa nature divine ? Pour Michael Baigent, le public doit connaître la vérité. Fruit de vingt-cinq années de recherches, L’énigme Jésus constitue une étude érudite de la vie religieuse et politique au Moyen-Orient dans les tout premiers siècles de l’ère chrétienne. Avec la rigueur de l’historien et la plume de l’écrivain, Michael Baigent revient sur les différentes étapes qui ont jalonné la vie de Jésus : sa naissance, son éducation, sa relation avec Marie-Madeleine, son enseignement, ses engagements. Du Jésus de la foi chrétienne au Jésus historique, la vérité dérange mais offre des perspectives insoupçonnées, autant pour les croyants que les non-croyants.
Les premiers rouleaux qui constituent ce qu’il est convenu d’appeler Les manuscrits de la Mer morte ont été découverts en 1947. Au fur et à mesure de leur déchiffrement, on a vu fleurir en tous pays une abondante littérature au milieu de laquelle il est bien difficile au profane de faire son choix. Millar Burrows, actuellement doyen du département de langues et littératures du Proche-Orient à l’Université de Yale, est considéré comme la plus haute autorité américaine en matière de recherches orientales, à deux reprises directeur de l’école américaine de Recherches orientales à Jérusalem, il se trouvait à ce poste au moment de la découverte des manuscrits de la mer Morte. Aussi le récit qu’il nous fait des péripéties de l’affaire (découverte et controverses) est-il considéré comme le plus complet, le plus sûr et en même temps le plus passionnant, réalisé jusqu’ici. Augmenté de la traduction de l’essentiel des manuscrits déchiffrés (Document de Damas, Commentaire d’Habacuc, Manuel de discipline, extraits de La Guerre des Fils de Lumière contre les Fils des Ténèbres, extraits des Hymnes d’actions de grâces), cet ouvrage apparaît ainsi comme un livre de base sur « la découverte archéologique la plus sensationnelle des temps modernes ».
Aussi vieux que le monde, aussi jeune que l’amour, le pèlerinage est un fait. Si haut que l’histoire remonte, elle montre les hommes cheminant vers des lieux privilégiés considérés comme saints. Vers Jérusalem et vers Rome, tombeaux du Christ et des apôtres, vers Compostelle, vraie racine de la chrétienté pendant sept ou huit siècles, nos ancêtres ont pris inlassablement la route.
On pourrait croire que ce nomadisme religieux appartient au passé, qu’il relève en tout cas du catholicisme populaire, et les beaux esprits ne manquent pas qui annoncent régulièrement la fin de ces migrations folkloriques. Or c’est au contraire à un étonnant renouveau du pèlerinage que nous assistons aujourd’hui.
C’est ce phénomène que l’auteur étudie, preuves et chiffres à l’appui, sur des routes aussi différentes que celles de Rome et de la Salette, d’Assise et de Lourdes, de Chartres et de Czestochowa, de Compostelle et de Fatima, de Jérusalem et de Paris.
A ceux qui vont prendre ou reprendre avec lui, à 18 ou 75 ans…le bâton du pèlerin, comme à ceux qui s’interrogent sur la vertu des pèlerinages, ce petit livre pourrait montrer qu’aujourd’hui comme hier, on ne met pas en vain ses pas dans ceux du Christ et de ses vrais amis.
En 1940, le Pape Pie XII reprend les recherches du tombeau de Saint Pierre.
C’est pendant la seconde guerre mondiale que ce dernier va être identifié.
Mais la recherche a été mal conduite sur le plan scientifique.
Où sont passés les ossements du Prince des apôtres qui permettraient de définir avec certitude sa tombe ?
Margherita Guarducci (1902-1999), titulaire de la chaire d’épigraphie et d’antiquité grecque à l’Université de Rome, va reprendre les recherches et déchiffrer les messages, graffiti apposés sur le mur extérieur de la tombe de Saint Pierre : qui la définiront définitivement, avec une certitude scientifique.
La tombe de Saint Pierre se situe bien au Vatican, où, le 13 octobre 64 il fut supplicié par Néron, à la verticale du baldaquin du Bernin, dans la basilique éponyme.
Livre admirable de sincérité, provocant, fascinant, dépourvu de complaisance et de réponses faciles…Voilà donc le cardinal Jean Marie Aaron Lustiger et le juif que je reste redevenus amis et alliés. Il a choisi, ou Dieu a choisi pour lui, une voie différente de la mienne, mais l’une et l’autre méritent d’être éclairées par la même lumière, car elles mènent vers la même vérité.Élie Wiesel, Le Monde.
Voici un livre qui fera date. Dans une France en crise, lasse, revenue des plaisirs du look, qui cherche non des maîtres à penser mais des rocs à quoi s’accrocher, en tout cas des références morales, un homme se dévoile. Et ses paroles – fortes et, parfois, déconcertantes – frappent.Dominique de Montvalon et Olivier Jay, L’Express.
Inutile de se cacher derrière les mots; le livre du cardinal de Paris est l’un des grands ouvrages écrits en cette fin de siècle qui devait être celui de la mort de Dieu. Voilà le paradoxe.Georges Suffert, Le Figaro Magazine.
“Les énigmes de l’univers”, Le trésor secret d’Israël, avec au sommaire:
Comment se prononce le tétragramme YHWH?
Pourquoi les Juifs ne savaient-ils plus le prononcer depuis le 3ème siècle avant J.-C.?
Qui avait raison, les Talmudistes juridiques ou les Kabbalistes gnostiques?
Pourquoi la structure atomique doit-elle, nécessairement, comporter des ondes et des corpuscules?
Pourquoi chrétiens et juifs se sont-ils opposés dès le 1er siècle après J.-C.?
Pourquoi les églises d’Orient et d’Occident se sont-elles séparées en 1054?
Pourquoi toutes les raisons fournies s’évanouissent-elles à la seule lecture circulaire du Tétragramme?
et bien d’autres questions encore…
