C’est l’énigmatique Kalandre qui, depuis le début de la série, provoque et manipule le destin de nos Légendaires. Ce tome 18 sera un épisode éprouvant, dramatique, qui verra les Légendaires malmenés dans leurs corps et dans leurs cœurs comme jamais ils ne l’ont été. Le final sera apocalyptique et meurtrier mais, tel le phénix, ce sera pour mieux faire renaître la série ensuite.
Jeune fellah vivant dans l’Egypte ancienne, Papyrus acquiert un glaive magique et sauve la princesse Théti-Chéri, dont il devient le protecteur et le confident. Il aura fort à faire pour protéger son amie des complots et des manœuvres ourdies par les prêtres d’Amon ou les princes fourbes acharnés à la perdre.
Les Légendaires ont deux semaines pour inverser les effets de l’accident Jovenia, sous peine de voir leur monde anéanti par les dieux. Seule la Corne de Sygma a le pouvoir escompté, mais celle-ci se trouve dans de lointaines montagnes. Sur le départ, nos héros sont assaillis par une jeune élève qui les supplie de l’emmener avec eux. Alors que tous reprennent la route, Gryf adopte un étrange comportement…
Shimmy est inquiète. Cela fait plus d’une semaine que Gryf aurait dû rentrer. Et s’il lui était arrivé quelque chose ? La réponse ne se fait pas tarder. Le voici qui revient en trombe. Mais quelle n’est pas la surprise de ses amis lorsqu’il présente…sa fiancée ! Et comme une nouvelle ne vient jamais seule, il les avertit d’une terrible catastrophe : la race humaine risque de disparaître d’Alysia….
Invités forcés des Chiridans, des êtres mystérieux morts depuis des siècles à la recherche perpétuelle de corps à posséder, les Légendaires ne tardent pas à découvrir qu’ils retiennent un prisonnier spécial, un dieu nommé Eternity. De son côté , Gryf sera confronté à plusieurs épreuves d’envergure dont libérer ses amis et choisir une bonne fois pour toutes vers qui son cœur penche : Shimy ou Shun-Day ?
Kalandre, la femme mystérieuse qui semble tirer les fils du destin, prétend que le monde d’Alysia vit ses derniers instants, empoisonné par les effets secondaires mortels de l’accident Jovénia. Elle dit souhaiter guider les mortels vers la Terre promise, un monde caché où les élus seront guéris de la malédiction. Malgré la méfiance de certains, Danaël pousse les Légendaires à accepter cet exode.
La vie à l’école n’est pas un long fleuve tranquille. Pour certains, l’année scolaire est même plutôt celle de tous les dangers !
Que serait une classe sans son cancre ? Un peu comme un potage sans sel. Du sel, l’élève Ducobu en apporte assurément dans le quotidien de ses copains de classe. Avec lui, les cours ne manquent pas de saveur et sont de perpétuelles récréations. Bien sûr, il y a toujours Léonie, la surdouée à qui on ne la fait pas et pour qui, le savoir ne se partage pas. Bien sûr, il y a toujours l’instituteur dont l’index s’avère plus menaçant que jamais… Notre sympathique cancre a cependant fait son choix. Les réponses ou la vie ?
Alors que le duo comique préféré des cours d’école s’apprête à fêter son 500e gag, Godi et Zidrou nous en apprennent un peu plus sur la vie privée et le passé de Léonie Gratin et de l’Elève Ducobu. L’occasion de constater que la propension de Ducobu à chercher l’inspiration sur les copies de sa muse ne date pas d’hier. Non, tout ça remonte en fait à la maternité ! Mais si, 13 albums plus tard, le couple fonctionne comme au premier jour, sans doute est-ce parce que Léonie commence à comprendre combien est salutaire le grain de folie que Ducobu sème dans nos vies !
Ducobu ne recule devant rien pour changer d’image et passer pour un élève modèle : il fait appel aux services de Mme Futurina voyante aux prédictions concoctées par lui-même, pose pour une photo avec Léonie, il joue même au ping-pong avec M. Latouche. Mais il n’en oublie pas pour autant d’inventer de nouveaux procédés pour tricher en toute discrétion et copier les réponses de sa chère voisine.
Ducobu s’est vu confisquer son « Rik Spoutnik Magazine » ! Mais, tel est pris qui croyait prendre ! Il n’aura suffi que de quelques pages feuilletées pour rendre Monsieur Latouche définitivement accro.