Les prêtres de l’Antiquité furent les premiers astronomes. Les grandes civilisations qui ont peuplé notre planète ont toutes été fascinées par l’univers et ont réussi à identifier de nombreux corps célestes, à repérer et à expliquer leurs mouvements.
George a un problème : il aime rendre service — ce qui n’est pas vraiment dans l’air du temps — et un atout, de taille même s’il n’est haut que de deux centimètres : un diablotin du nom d’Azazel, d’origine apparemment extraterrestre, et que George peut faire apparaître à volonté. Azazel a des pouvoirs très étendus et il suffit que George explique le cas pour que le minuscule personnage intervienne dans le sens désiré. Le problème, c’est qu’Azazel ne sait pas que ce qu’on lui dit et que George ne s’explique pas toujours aussi clairement qu’il l’imagine.
C’est à l’Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S’agit-il d’un accident, d’un suicide ou d’un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C’est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c’est le choc alors éprouvé qui l’incite à s’informer en marge de l’enquête officielle. II ira d’émotion en surprise.
Prisonnier de son embonpoint et ennemi juré des voyages, le célèbre Dr Urth, extraterrologiste émérite, ne s’est jamais éloigné de son domicile. Cependant, ce savant en pantoufles possède une connaissance si parfaite des planètes étrangères et de leurs habitants que c’est à lui que la police a le plus souvent recours pour démasquer les criminels intergalactiques. Ainsi, pour notre plus grande joie, assistons-nous au mariage heureux de la S.-F. et de l’intrigue policière. Du crime parfait sur la Lune aux aventures d’un James Bond de l’an 4000 agressé par les filles de l’espace, le grand mérite du Dr Urth – et de son créateur – sera de ne jamais faire appel à d’opportun gadgets futuristes pour résoudre les énigmes, mais à la pure et simple logique.